Notre histoire
Histoire
L’entreprise AU GRE DES VENTS a été créée il y a 22 ans en avril 2001, par Chantal et Benoît LOIRAT à FONTAINE-EN-SOLOGNE (41250). Ils ont débuté leur activité avec seulement une montgolfière et un Defender (4x4) avec comme pilote Chantal. Rapidement après que Benoît ait passé son brevet de pilote à son tour, ils ont acquis une seconde montgolfière et un second 4x4 : l'aventure AU GRE DES VENTS était belle et bien démarrée.
En 2013, la société a été reprise par Patrick PRUDHOMME qui a fait évoluer l’entreprise au cours des années suivantes. Les locaux se sont déplacés à la commune de CONTRES (41700) Le Controis-en-Sologne.
2020 est l’année du changement où Kévin reprend la société et s’emploie à développer AU GRE DES VENTS qui a désormais 7 montgolfières 9 véhicules et emploie 15 personnes.
Vol en montgolfière où l’aventure commence
Idéalement situées, entre Touraine et Sologne, à mi-chemin de Chambord et de Chenonceau, à 10 minutes de Blois ou 30 minutes du Zoo de Beauval, nos montgolfières vous feront découvrir la Vallée de la Loire connue « comme le jardin de la France » qui offre une multitude de châteaux ou manoirs connus ou inconnus qui ont été pour certain la résidence favorite des rois de France durant la renaissance.
Votre site d’envol sera déterminé par la direction du vent le jour du vol.
Le lieu de rendez-vous sera au point de rencontre, ensuite, à bord de nos véhicules 4X4, vous traverserez le vignoble et la campagne solognote pour rejoindre le terrain de décollage (soit : Chaumont sur Loire, Chambord, Blois, Fougères sur Bièvres, Chenonceau ou Cour Cheverny). Au Gré Des Vents est autorisée par convention à décoller du domaine de Chambord.
La montgolfière
La montgolfière fut le premier engin qui permit un vol humain digne de ce nom. Celui-ci eu lieu au château de la MUETTE, le vendredi 21 novembre 1783. Le ballon, d’un volume de 2 200 m3, emmènera ses deux passagers, Pilâtre de Rozier et le Marquis d’Arlandes pour un vol de 25 minutes au-dessus de la campagne parisienne. Par la suite de nombreux autres vols furent tentés et réussis.
Aussitôt que les contraintes du vol libre furent maîtrisées, l’homme chercha mille moyens de diriger les machines aérostatiques.
On affubla les ballons de voiles, de rames ; on imagina de tracter les montgolfières par des trains d’oiseaux encordés ! ! !
200 ans après nous n’y sommes toujours pas parvenus et l’appellation de « ballon libre » reste indissociable des noms de montgolfière et de ballon à gaz.
Devant l’incapacité à diriger ces engins, qui auraient permis d’envahir l’Angleterre par exemple, la montgolfière perd de son attrait et plus tard l’apparition des premiers avions l’envoie aux oubliettes. Seuls quelques forains s’en serviront encore pour effectuer des démonstrations d’acrobaties aériennes dans les fêtes populaires.
A ce stade là, la construction des ballons n’a pas évolué, l’enveloppe est en lin et un feu de paille suffit à chauffer l’air contenu à l’intérieur du ballon.
Jusque dans les années 1960, il y eut toujours quelques passionnés, ingénieurs et savants pour perpétuer la tradition et se servir de la montgolfière pour s’élever dans les airs ; si leurs buts étaient différents ils permirent néanmoins de garder vivante cette image du plus léger que l’air.
Puis vinrent les années de la conquête de l’espace et celle de la guerre du Viêt-Nam. La découverte de nouveaux matériaux, les essais de moyens de récupération des pilotes d’avions tombés au-dessus de la jungle ennemie mirent en évidence des techniques qui permettent maintenant de construire les montgolfières modernes.
L’apparition des Nylons RIP-STOP, des brûleurs au propane, les réservoirs en aluminium ont permis la construction d’aérostats fiables, facile à mettre en œuvre, et d’une utilisation à la portée de tous ceux qui veulent consacrer un peu de temps à son apprentissage.